Les accusations sont suffisamment graves. Un chercheur, qui opère dans le domaine de la sécurité, a publié, le 3 août, un brûlot dans le journal français Valeurs actuelles. Il accuse le CISC, dirigé par le Docteur Daouda Diallo, d’être de connivence avec un groupe terroriste. La Croix-Rouge serait également mouillée dans cette sombre affaire. L’article de Valeurs actuelles a été partagé des milliers de fois, avec de graves répercussions au Burkina Faso. Dans l’interview qui suit, le premier responsable du CISC brise le silence.
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