L’affaire a dû faire siffler les oreilles de l’ex-Premier ministre Yacouba Isaac Zida. Des dépenses à coup de centaines de millions, sans aucune pièce justificative, ont été effectuées avec des fonds publics. Son Directeur de cabinet, Job Ouédraogo, à qui l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de Lutte contre la corruption (ASCE/LC) a demandé de rembourser 1 671 267 503 FCFA, reconnaît avoir perçu les fonds. «J’ai signé beaucoup de décharges ; j’ai signé et j’ai pris l’argent»,
L’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de Lutte contre la corruption (ASCE/LC) a tenté de comprendre comment les fonds publics ont été gérés. Les protagonistes de cette affaire brûlante, tous présumés innocents, sont passés à la «casserole». A l’exception du Premier ministre Zida. Voici de larges extraits de ce qu’ils ont dit aux contrôleurs…
Dans le cadre de l'audit général de la Transition, voulu par l’ex-Premier ministre, Yacouba Isaac Zida, et commandité par le président du Faso, Roch Marc Christian Kaboré, le Programme socio-économique d'urgence de la Transition (PSUT), au même titre que la quasi-totalité des ministères et institutions d'Etat, a reçu la visite d'enquêteurs, dépêchés par l'Autorité supérieure de contrôle d'Etat et Lutte contre la corruption (ASCE/LC). Mais qu'a-t-on, au juste, découvert au PSUT?
Le P-DG de la société Transit–Transport intercontinental (TTIC), Jean Bosco Kaboré, s’est senti grugé. Il a saisi l’Autorité supérieure de contrôle d’Etat et de Lutte contre la corruption (ASCE/LC). Motif invoqué : non-paiement d’une
L’arrêté signé par Blaise Compaoré, alors ministre de la Défense nationale et des Anciens combattants, le 7 juillet 2011, suite aux mutineries, continue de faire des vagues. Les contrats de 566 militaires avaient été résiliés «pour faute particulièrement grave contre l’honneur, la morale, la probité avec incitation au désordre». Plusieurs militaires sont ainsi passés à la barre. Certains ont été condamnés et mis en détention. Mais d’autres ont été blanchis. Nous avons pu consulter, à ce sujet, plusieurs extraits de jugement rendu par le Tribunal militaire.
Le débat fait rage autour de certaines parcelles vendues par la SONATUR à Ouaga 2000. Des ministres y ont souscrit. Et ils en ont été attributaires. Mais cette opération est-elle légale ? L’un de nos lecteurs, étudiant en droit, a passé en revue les textes en la matière. Il apporte, dans cet écrit, un nouveau son de cloche.
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