La scène est macabre. 51 éléments des Forces de défense et de sécurité,
morts les armes à la main, le 17 février, dans la province de l’Oudalan, région
du Sahel. Moins de 48heures après, une autre mauvaise nouvelle: des soldats tombés
à Tinakoff, également dans la région du Sahel. Les scènes macabres sont
nombreuses. Des familles endeuillées. Yirgou, Solhan, Inata, Gaskindé… La liste
est longue, très longue. Mais il ne faut pas baisser la tête. Il faut se
battre. Les soldats, en première ligne, se battent, au risque de leur vie, pour
la Nation. Pour toi. Pour moi. Pour lui. Pour nous. Nous tous ! La lutte
contre le terrorisme n’est pas que militaire. Les populations doivent faire
front commun avec nos FDS et VDP. Chacun, quelle que soit l’échelle où il se
trouve, doit jouer sa partition. Il faut sauver l’essentiel : notre
patrie, le Burkina Faso. Et c’est possible ensemble !
La Rédaction